Le Horseshoe Bend, traduisez « courbe de fer à cheval » est l’un des méandres du fleuve Colorado. Il est situé dans la ville de Page, en Arizona. Il se trouve en aval du barrage de Glen Canyon et du lac Powell.

Ces dernières années, la popularité du site a augmenté avec Instagram, où des photos plus belles les unes que les autres ont fini par attirer les foules. Aujourd’hui, le site est toujours gratuit et libre d’accès, mais compte tenu de la masse touristique qui ne cesse d’y augmenter, gageons qu’il sera réglementé sous peu !
Le Horseshoe Bend est très facile d’accès. Une fois arriver à Page, un parking se situe en bordure de route. Attention en journée, il est très vite fermé car plein ! Il faut ensuite parcourir environ 800m à pieds dans le sable, pour arriver devant l’imposant bloc rocheux, bordé par le Colorado.
Effectivement, il y avait beaucoup plus de touristes que ce que l’on avait imaginé. Normal : le site est gratuit, très facile d’accès, et ultra « instagrammable ». Personne ne s’en prive donc ! Le plaisir peut être un minimum gâché par les touristes asiatiques sans gêne qui s’y pressent pour faire leur photo et s’exclament des « Woooow » très sonores mais, l’espace est bien assez grand pour que chacun y trouve son compte.

Astuce : sans le vouloir, nous nous y sommes rendus en tout début de soirée, alors que les touristes repartaient pour la plupart. Cela nous a permis d’éviter les foules de la journée ! La lumière est sans doute moins photogénique, mais les photos n’en restent pas moins belles !






























Sur le papier, le parc était très vendeur… un canyon ? Génial ! Des vestiges ? Super ! D’une civilisation inconnue en Europe ? Encore mieux ! En plus, on nous vendait la présence de cactus géants sur place… c’est donc le cœur léger qu’après notre arrêt à Santa Fe, nous nous sommes dirigés vers Chaco Canyon pour notre dernière étape au Nouveau-Mexique.




Ce premier trail est agréable, c’est plutôt sympa de surplomber le canyon et les vestiges mais, au bout de quelques kilomètres, nous finissons par trouver cela « toujours pareil » (bon faut dire aussi qu’on est devenus durs en affaire niveau paysages hein). En plus, les chemins sont très mal tracés, on se perd facilement, et il n’y a pas beaucoup d’indication.












